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Moyens d'appeler la mort sur quelqu'un

• Le petit sac et son contenu
• La pièce de monnaie percée
• L'écuelle sous le lit
• Saint Yves de la Vérité, pratiques à employer pour lui vouer ds ennemis
• L'histoire du maréchal-ferrant
• Le bateau-sorcier



Le petit sac et son contenu
Quand on veut appeler la mort sur quelqu'un que l'on hait, il suffit de s'adresser à une personne expérimentée. Il y en a au moins une dans chaque paroisse. Elle vous remet un petit sac contenant une mixture, où il entre:

1. Quelques grains de sel;
2. Un peu de terre prise au cimetière;
3. De la cire vierge;
4. Une araignée qu'on a soi-même attrapée en un coin de sa maison;
5. De la rognure d'ongles (pour se la procurer, on ronge ses propres ongles avec les dents).
On doit porter ce petit sac, suspendu au cou, pendant neuf jours consécutifs. Ce temps écoulé, on le place dans un endroit où l'on présume que passera l'individu dont on veut la mort. Il emporte qu'il soit bien e évidence, qu'il attire l'attention, qu'il tente la curiosité. On le dispose, par exemple, au milieu d'un sentier ou sur l'aire d'une maison. Votre ennemi le ramasse, croyant avoir trouvé une bourse pleine; il le palpe, l'ouvre. C'est assez. Il mourra dans les douze mois.
(Communiqué par François Le Roux. - Rosporden)



***

Le jeteur de sort peut aussi vous donner une pièce de deux liards percée; il suffit de la glisser, étant à jeun, le dimanche, à la messe, dans la poche de la personne que l'on veut faire mourir.



L'écuelle sous le lit
Il y a vingt ou vingt-cinq ans, la servante d'une jeune dame de Morlaix, que je ne vous nommerai pas, parce qu'elle est encore en vie, fut tout étonnée, un matin, en faisant la chambre de sa maîtresse, de trouver sous le lit une écuelle qui paraissait remplie de sable. Elle pensa que c'était la dame qui l'avait mise là tout exprès et lui demanda s'il fallait l'y laisser. Mais la maîtresse ne montra pas moins d'étonnement que la servante.
- Une écuelle sous mon lit, dites-vous?... Qu'est-ce qu'elle peut bien y faire, grand Dieu!
- Ma foi, venez et vous verrez vous-même.

Elles vidèrent l'écuelle sur le parquet et constatèrent qu'elle ne contenait pas que du sable, mais encore des oeufs, des épingles, et enfin de menus fragments d'os. Voilà donc la dame fort intrigue. Qui avait pu placer là ces objets, et dans quel dessein?

- Tâchez de vous informer discrètement dans notre voisinage, recommanda-t-elle à la servante; il faut que nous tirions ceci au clair, il y a quelque chose là-dessous.

La servante se mit aussitôt à courir le quartier. A force d'aller, de venir et de questionner les commères, elle finit par apprendre ce que voici : son maître, avant de se marier, avait eu des relations avec une nommée Catherine Jagoury, de la rue Bourret, laquelle était employée à la manufacture des tabacs; la rumeur publique disait même que cette Catherine Jagoury avait eu de lui un enfant ; ce qui était sûr, c'est qu'elle ne lui pardonnait pas de l'avoir abandonnée et, à diverses reprises, on l'avait entendue déclarer que, par un moyen ou par un autre, elle se vengerait. Le "coup de l'écuelle sous le lit" cachait évidemment un sortilège quelconque et qui ne pouvait avoir été imaginé que par la jeune fille délaissée.

La servante ne fit ni une ni deux; sans attendre d'avoir pris conseil de sa maîtresse, elle alla conter la chose à la police. Le commissaire manda immédiatement Catherine Jagoury à son bureau.

- Vous savez de quoi l'on vous accuse, n'est-ce-pas? Allons, dites la vérité.
La jeune cigarière devint toute blanche.

- Elle est donc morte! s'écria-t-elle... Et bien! oui, c'est moi... Il m'avait donné sa parole... Elle n'avait qu'à ne pas l'épouser!
- Ainsi, c'est pour la faire mourir que vous avez mis l'écuelle?...
- Oh ! ce n'est pas moi qui l'ai mise, mais je ne dirai pas qui... Moi, vous pensez, on m'aurait jetée à la porte.
- Et qui y avait-il dans cette écuelle ?
- Il y avait ce qu'il fallait : du sable de cimetière, trois coques d'oeufs frais pondus par trois poules différentes, deux épingles en croix et des morceaux de reliques. Voilà. J'ai prononcé la formule sur le tout...

- Quelle formule ?
- Allez la demander à celle qui me l'a apprise... Ca n'est pas mon secret.
- Bref, vous avez voulu commettre un crime ?
- Un crime, c'est tuer quelqu'un. Je n'ai pas tué : je n'ai fait qu'invoquer la mort.
- Oui... Eh bien! ne recommencez pas. Celle pour qui vous l'avez invoquée se porte à merveille, heureusement pour vous. Allez!

La jeune fille eût préféré être jetée en prison plutôt que de s'entendre dire que le maléfice n'avait pas produit son effet (na oa ket deut da vad).

Elle en fit une maladie. La dame à qui elle en avait fut, de son côté, fort ennuyée du zèle de sa servante, car l'histoire courut la ville, et les journaux la mirent par écrit.

(Communiqué par Joseph Le Cost. - Morlaix, 1896.)



***

Il est un moyen encore plus infaillible de se débarrasser d'un ennemi. C'est d'aller vouer (gwestla) celui que l'on hait à saint Yves de la Vérité. On fait saint Yves juge de la querelle.

Mais il faut être bien sûr d'avoir de son côté le bon droit. Si c'est vous qui avez le tort, c'est vous qui serez frappé.



***

La personne qui a été vouée justement à saint Yves de la Vérité sèche sur pied pendant neuf mois. Elle ne rend toutefois le dernier soupir que le jour où celui qui l'a vouée ou fait vouer franchit le seuil de sa maison. Lasse d'être si longtemps à mourir, il arrive souvent qu'elle mande chez elle celui qu'elle soupçonne d'être son envoûteur, afin d'être plus tôt délivrée.



***

Pour vouer quelqu'un à saint Yves de la Vérité, il faut :


1. Glisser un liard dans le sabot de la personne dont on souhaite la mort ;
2. Faire à jeun trois pèlerinages consécutifs à la maison du saint; le lundi est le jour consacré ;
3. Empoigner le saint par l'épaule et le secouer rudement en disant; "tu es le petit saint de la Vérité (Zantik ar Wirioné). Je te voue un tel. Si le droit est pour lui, condamne-moi. Mais si droit est pour moi, fais qu'il meure dans le délai rigoureusement prescrit";
4. Déposer comme offrande aux pieds du saint une pièce de dix-huit deniers marquée d'une croix ;
5. Réciter les prières habituelles, en commençant par la fin ;
6. Faire trois fois le tour de l'oratoire, sans tourner la tête.
Autrefois il y avait dans l'oratoire de Saint-Yves-de-la-Vérité, derrière la statue du saint, une allène, pareille à celles dont se servent les cordonniers.
Pour être plus sûr de se faire entendre du saint, on plantait cette allène par trois fois dans le bois de sa statue, en disant à chaque fois : - Pa'z out ar jug braz, clew ac'hanon! (Puisque tu es le grand juge, entends-moi).
(Lise Bellec. - Port-Blanc)





L'histoire du maréchal-ferrant
Il était une fois un maréchal-ferrant qui s'appelait Fanchi et qui avait sa forge au bourg d Caounnek. Il cultivait de plus quelques arpents de terre attenant à sa forge, et il trouvait moyen de nourrir deux ou trois vaches. Il aurait dû être à l'aise dans ses affaires, car il travaillait avec courage. Malheureusement, sa femme était un puits de dépenses. L'argent que Fanchi lui remettait, il ne le revoyait plus, sans qu'il pût savoir à quoi il avait été employé. Il ne se doutait pas, l'excellent homme, que Marie Bénec'h, sa triste moitié, tandis qu'il peinait à l'enclume, passait son temps à commérer d'auberge en auberge, et à payer du micamo, c'est-à-dire du café "salé avec de l'eau de vie", à toutes les Jeannettes du voisinage.
Fanchi avait un apprenti, nommé Louiz, qui était dans sa maison depuis nombre d'années et en qui il avait grande confiance.

Un soir il dit à l'apprenti:
- Sois de bonne heure sur pied demain matin. Marie Bénec'h prétend que sa bourse est vide. Nous irons à La Roche-Derrien vendre la vache rousse. C'est la "foire du chaume" (foar ar zoul), nous en, trouverons peut-être un bon prix.

La vache rousse fut, en effet, bien vendue. Trois cents écus sonnants, sans compter les arrhes. Comme Louiz et Fanchi s'en revenaient vers Caouennek, l'apprenti dit au maître:

- A votre place, je ne donnerais pas cet argent à Marie Bénec'h, en une seule fois. Je le ramasserais dans un tiroir et je ne m'en séparerais qu'au fur et à mesure des besoins du ménage.
- C'est une heureuse idée, répondit Fanchi, qui n'avait jamais pensé à cela.

Rentré chez lui, il mit les trois cents écus, rangés en plusieurs piles, dans une grosse armoire de chêne dont il fourra la clef sous son traversin. Mais son manége n'avait pas échappé à l'oeil de Marie Bénec'h. Dès qu'elle entendit ronfler son mari que cette journée de foire avait harassé, elle se leva discrètement, déroba la clef, courut à l'armoire, et fit rafle de l'argent.

Qui fut bien attrapé le lendemain ? Ce fut Fanchi, le forgeron.
Ses soupçons se portèrent aveuglément sur son apprenti.
- Louiz, s'écria-t-il, pâle de colère, j'ai suivi ton conseil. Voilà ce qui m'en revient. Rends-moi mes trois cents écus.
- Je ne les ai pas pris.
- Tu nies ? Soit. Tu vas de ce pas m'accompagner à Saint-Yves-de-la-Vérité !
- Je suis prêt à vous accompagner partout où il vous plaira.

Ils se mirent en route. Quand ils furent arrivés à la porte de l'oratoire, le maréchal prononça les paroles consacrées. Le saint inclina la tête par trois fois, pour montrer qu'il avait compris et aussi pour déclarer qu'il allait faire justice. Fanchi regagna Caouennek, soulagé. Quand à Louiz, qui avait été allègre au départ, il ne le fut pas moins au retour.

A l'entrée du bourg, Fanchi lui dit :
- Tu penses bien que d'ici longtemps nous ne travaillerons plus ensemble.
- A votre gré, maître, répondit Louiz. J'estime cependant qu'avant peu vous aurez reconnu que ce n'est pas moi le coupable.
Ils se séparèrent...

Marie Bénec'h guettait son mari du seuil de la forge.
- Où as-tu-été ? lui demanda-t-elle.
- A Saint-Yves-de-la-Vérité.
- Quoi faire?
- Vouer à la mort, dans un délai de douze mois, la personne qui m'a volé mes trois cents écus.

- Ah! malheureux ! malheureux ! s'écria Marie Bénec'h, qui déjà avait au cou la couleur de la mort, si au moins tu m'avais prévenue! tes trois cents écus n'ont pas été volés. C'est moi qui les ai pris, cette nuit, pendant que tu dormais. Retournons vite défaire ce que tu as fait.

- Il est trop tard, femme. Par trois fois le saint a incliné la tête.
A partir de ce jour, Marie Bénec'h ne fit en effet que languir, et, les douze mois écoulés, elle mourut.

(Conté par Marie-Hyacinthe Toulouzan. - Port-Blanc.)



Le bateau-sorcier
A l'île de Sein, comme la propriété est infiniment morcelée, les conflits d'intérêts sont fréquents et engendrent parfois des rancunes inexpiables. Les femmes surtout sont acharnées à la vengeance. Trop faibles pour s'attaquer ouvertement à un ennemi, lorsque celui-ci est un homme, elles s'arrangent pour le vouer à la mer, c'est-à-dire à la mort. Voici comment elles procèdent.
Il y a dans l'île un certain nombre de veuves réputées pour avoir reçu en naissant le don de vouer. On ne les nomme pas tout haut, mais on les connaît. Elles ont, dit-on, commerce avec les mauvais Esprit des eaux qui les admettent, la nuit, aux "sabbats de la mer". Elles se servent, pour se rendre à ces sabbats, d'une embarcation de forme toute spéciale. Vous avez vu no îliennes ramasser du goémon dans le galet. Elles l'empilent dans des mannes d'osier, à fond rentrant comme un cul de bouteille, et, pour fixer la charge, y plantent une courte baguette appelée bâ bédina (bâton à goémonner).

Eh bien ! c'est dans une manne d'osier de ce genre que les Vieilles du Sabbat (Groac'hed ar Sabbad) vont faire leurs tournées de nuit. Bag-sorcérés (bateau-sorcier) est le nom par lequel on désigne cette sorte d'embarcation. Les vieilles n'y peuvent trouver place qu'à la condition de s'accroupir sur leurs talons, et c'est en cet équipage qu'elles gagnent le large, munies seulement du bâ bédina en guise d'aviron et de gouvernail. Il n'est pas rare que des pêcheurs les rencontrent, mais ils se donnent garde de s'en vanter, sachant bien que la plus légère indiscrétion leur serait fatale.

Et donc, lorsqu'on a quelqu'un dont on souhaite la mort, on s'abouche avec une de ces veuves. En général, ce n'est point à son logis qu'on se rend. On s'arrange pour se trouver sur son passage et on lui dit, de l'air le plus naturel:

- Moereb (tante), j'aurais besoin de vous. Si elle est disposée à écouter votre requête, elle vous fixe un endroit désert où l'attendre, après le coucher du soleil. C'est le plus souvent derrière l'énorme masse de rocher dite An Iliz (l'église), à mi-chemin du bourg et du phare.

Là, vous lui livrez le nom de l'homme que vous désirez voir périr. Elle vous demande :
- Combien de temps lui accordes-tu pour se repentir du tort qu'il t'a fait et le réparer?
On donne un terme quelconque : une semaine, quinze jours, un mois. Plus le délai qu'on indique est rapproché, plus la "voueuse" se fait payer cher.

L'affaire une fois conclue, vous pouvez retourner chez vous tranquille. Votre ennemi périra au jour marqué. Pour chaque individu qu'elle voue, il faut que la vieille accomplisse trois voyages, assiste à trois sabbats et remette, chaque fois, aux démons du vent et de la mer un objet ayant appartenu à l'homme qu'il s'agit de faire disparaître.

On cite nombre d'îliens qui ont disparu par l'effet de ces pratiques. J'ai, par exemple, entendu raconter ceci : Deux frères s'étaient mortellement brouillés, à propos de succession et de partage. Un matin qu'ils prenaient la mer - et naturellement pas sur le même bateau - leurs femmes vinrent, selon l'usage de l'île, surveiller de la pointe du môle leur embarquement, de peur qu'ils ne restassent à se soûler dans quelque auberge. Or, comme elles étaient là, se défiant du regard, une d'elles dit à l'autre :

- Va donc plutôt voir chez toi si la couturière a fini de tailler ta coiffe de veuve.
Et le mari, en effet, ne rentra jamais. Il avait dû sombrer à l'endroit même où il avait été voué.


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#Posté le vendredi 02 octobre 2015 01:03

Comment gagner une bagarre


Parfois, soit parce que votre virilité (ou féminité) est remise en question ou parce qu'il n'y a littéralement pas d'autre issue, vous devez vous mettre en garde et vous battre. Il ne s'agit pas de gagner ou de perdre le combat - même si ce serait bien - mais plutôt de prouver que vous êtes capable de vous défendre. Si vous voulez gagner une bagarre, potentiellement contre quelqu'un de plus grand, plus fort et plus expérimenté que vous, suivez ces règles simples.


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Étapes


1

•Contrôlez constamment votre environnement. Repérez qui est capable de vous agresser et comment quitter les lieux rapidement. Cela vous aidera à anticiper la violence avant qu'elle n'arrive sur vous et ainsi vous aurez le temps de préparer votre défense en cas de besoin. De plus cela vous donnera l'avantage de réagir rapidement au lieu de rester figé.

Win a Fist Fight Step 1.jpg

•Gardez votre vision périphérique active quand vous déplacez votre regard. Votre vision périphérique est la limite extérieure de votre champ de vision, les choses que vous voyez indirectement lorsque vous regardez fixement des objets. Gardez cette vision périphérique active. Cela vous aidera à détecter les obstacles suffisamment à temps.


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2

Si vous sentez que vous êtes vraiment en danger, partez le plus tôt possible. Si vous croyez qu'une personne ou quelqu'un a l'intention de vous attaquer au moment où vous avez décidé de sortir, essayez de le faire sans donner l'alarme. Les attaquants seront d'autant plus tentés de vous bousculer s'ils pensent que vous cherchez réellement à vous enfuir. •Ravalez votre amour-propre - une légère altercation peut rapidement dégénérer en de graves dommages, car les deux parties ne peuvent pas se contrôler ou ne connaissent pas leurs limites. Aller à l'hôpital avec une fracture du nez peut ne pas valoir la réputation qu'on s'obstine à défendre en livrant un combat perdu d'avance.



3

Tentez de désamorcer la situation. Il s'agit de la phase préliminaire du combat. Parlez à votre agresseur et essayez de l'amener à abandonner la partie ou à préférer l'avantage d'une trêve. Si vous avez la parole facile, c'est le moment ou jamais d'en faire usage. Soyez vigilant lorsque vous négociez. •Dites quelque chose comme : "Je vais me battre contre toi, mais honnêtement je préfère ne pas le faire. Calmons-nous et essayons de résoudre ce problème comme des adultes."
•Ou essayez quelque chose comme : " Je ne veux vraiment pas te faire de mal, je n'ai rien à prouver. Tu peux essayer de me frapper si tu veux, mais je ne te le recommande pas."




Win a Fist Fight Step 5.jpg

4

Si la fuite n'est pas possible ou viable, prenez une position défensive. Levez vos mains, paumes dehors, au niveau du cou et inclinez votre corps de manière à l'éloigner de l'agresseur. Ceci permet de réaliser trois choses : d'abord contrôler la distance de sécurité entre vous et l'agresseur (agissant comme une «barrière»), ensuite protéger la tête et les organes vitaux et enfin faire semblant de ne pas être agressif. Restez toujours plus ou moins en mouvement, sans jamais reculer. •Protégez votre visage avec vos mains. Regardez la photo d'un boxeur qui protège son visage à l'aide de ses gants, c'est de cette façon qu'il faut placer vos mains, sauf lorsque vous donnez un coup de poing.
•Gardez les jambes écartées et les genoux légèrement pliés. Cela vous donnera plus d'équilibre. Vous ne voulez quand même pas que votre agresseur soit en mesure de vous renverser.
•Lorsque vous ne parlez pas, gardez votre bouche fermée. Un coup bien placé sur une bouche ouverte peut briser une mâchoire.




Win a Fist Fight Step 6.jpg

5

À partir de cette "attitude de défense", continuez à tenir un dialogue approprié pour calmer votre adversaire. (Par exemple "Quel est le problème ? Comment puis-je t'aider ?") La meilleure façon de gagner un combat est de l'éviter de prime abord. Des expressions comme "Calme-toi mon pote" et "relaxe-toi" peuvent augmenter la tension. •Un dialogue apaisant a plusieurs effets positifs :
•Il offre à l'agresseur des options non-violentes.
•Il peut amener l'agresseur à baisser sa garde ou le pousser à vous sous-estimer.
•Il impose votre point de vue sur le combat.
•Il impute le mauvais choix à l'adversaire, ce qui vous fera gagner du temps.





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6

Surveillez les signes d'une poussée d'adrénaline chez votre adversaire. Lorsque l'adrénaline monte réellement chez lui, il est probablement sur le point d'attaquer. La plupart des gens ne peuvent pas s'empêcher d'attaquer une fois qu'ils ont subi une poussée d'adrénaline. Attendez-vous à être frappé indépendamment de ce qu'il semble faire sur le moment. •Une forte poussée d'adrénaline chez votre agresseur se traduit par les signes suivants :
•Un discours monosyllabique ou des grognements,
•des insultes verbales excessives,
•un écartement des bras,
•un froncement des sourcils,
•un affaissement du menton,
•un teint blafard,
•montrer les dents.




7

Faites du bruit pendant la bagarre. Cela peut sembler étrange, mais c'est efficace. Lancez votre cri de guerre le plus féroce dans un accès de fureur. Cela sert à deux fins. D'une part, intimider votre agresseur si vos grognements sont vraiment féroces et violents, deuxièmement, vous allez mieux vous concentrer sur le combat, ce qui rendra sa conclusion plus facile.




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8

Gardez la distance en utilisant votre garde. Pour vous frapper, l'agresseur doit aller au-delà de votre garde. Dans plus de 95% des cas, il va tenter de vous atteindre à la tête, habituellement avec un crochet droit. (La plupart des gens sont droitiers.) Si vous savez que votre agresseur est gaucher, méfiez-vous d'un crochet gauche au visage ou au corps. •Utilisez votre garde comme un fil de détente. Si votre agresseur la touche une fois, préparez-vous pour faire une attaque préventive. Frappez à la deuxième touche, dans un endroit vulnérable.
•Ne pas attendre que votre adversaire à se ressaisisse ou intensifie ses efforts. Même s'il vous touche une fois, tenez bon et ripostez la prochaine fois lorsqu'il tentera d'entrer en contact.




Win a Fist Fight Step 3.jpg

9

Soyez très prudent quand vous frappez quelqu'un au visage. Vous pouvez très facilement casser les petits os de vos mains ou même briser vos phalanges. Visez le nez et les lèvres afin de minimiser ce risque.




Win a Fist Fight Step 4.jpg

10

Si l'adversaire est plus grand et plus expérimenté que vous, faites un effort supplémentaire pour éviter d'être atteint. S'il est plus grand, il y a des chances pour qu'il puisse frapper plus fort aussi. Il peut suffire d'un seul coup de poing bien placé pour mettre quelqu'un hors combat. •Esquiver est primordial. Maintenez-vous sur vos orteils et dansez autour de votre adversaire à la manière d'un boxeur. Si votre agresseur ne peut pas prédire dans quelle direction vous irez, il aura plus de mal à vous toucher ou vous mettre à terre.
•Après avoir esquivé un coup de poing, votre adversaire sera vulnérable pendant une fraction de seconde. C'est le moment pour le frapper. Les cibles molles sont extrêmement utiles à atteindre. Le nez, le visage, les reins, les tempes et la gorge sont de bons endroits pour porter un coup de poing. Cela peut rendre votre adversaire temporairement hors combat (surtout la gorge, mais cela peut endommager la trachée-artère). Les coups sur le côté du fémur sont également efficaces. Vous pouvez déséquilibrer votre adversaire pendant suffisamment longtemps pour le frapper à la mâchoire avec un coup de poing ou un coup de pied.



11

Savoir encaisser un coup. Sauf si vous volez comme un papillon et piquez comme une abeille, vous serez probablement touché au moins une ou deux fois pendant le combat. Savoir encaisser un coup vous aidera à résister plus longtemps et améliorera votre capacité à résister aux coups puissants. •Comment encaisser un coup au visage. Gardez votre bouche fermée, serrez le cou et les muscles de la mâchoire et bougez la tête dans le sens du coup. Le mouvement dans le sens du coup de votre agresseur (sauf s'il s'agit un direct) peut le faire dévier et vous donner une chance de riposter. Si vous pouvez, essayez d'amener votre agresseur à viser votre front qui est une cible dure, cela nuira à ses mains.
•Comment prendre un coup au corps. Serrez vos muscles abdominaux sans aspirer beaucoup d'air. Essayez de dévier le coup de sorte qu'il vous frappe sur le côté (en oblique) plutôt que de plein fouet sur l'estomac ou sur n'importe quel autre organe.




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12

Ripostez par des coups au niveau du menton ou de la mâchoire. Les techniques de poings et de mains représentent la meilleure option. Visez la mâchoire avant de la frapper. Cela vous donne non seulement la possibilité de mettre votre adversaire hors d'état de nuire, mais aussi parce qu'une puissante tentative même ratée peut forcer un agresseur à reconsidérer l'utilité de faire des efforts supplémentaires. •S'il laisse son estomac à découvert, essayez de le frapper sur le ventre de façon à lui couper le souffle. Si vous réussissez à lui couper le souffle, le combat sera pratiquement terminé.




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13

S'il tombe, donnez des coups de pied ou piétinez ses jambes et son torse. Une descente du genou dans la poitrine est également très efficace, mais se rappeler qu'elle vous place dans une position rapprochée qui vous expose à n'importe quelle attaque de la part de votre adversaire. Ne pas donner de coup de pied sur la tête, car cela peut facilement entraîner la mort.




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14

Prenez la fuite lorsque l'assaillant est à terre et vaincu. Si votre technique de frappe est assez forte et que vous avez mentalement désarmé l'agresseur par votre dialogue et votre «attitude de combat», il sera assommé ou pour le moins très désorienté. Utilisez ce temps pour vous échapper si vous le pouvez. Même si vos coups n'ont pas eu cet effet, l'adversaire pourra encore être pris au dépourvu. Continuez à le frapper au menton, à la mâchoire et au cou en le forçant reculer, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus ou ne veuille plus se battre.


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Conseils

•Ne vous inquiétez pas concernant la douleur, car avec la montée d'adrénaline, vous ne sentirez rien jusqu'à ce que le combat soit fini.
•Également, maintenez fermement votre position.
•Avant de commencer le combat, notez mentalement si votre adversaire est droitier ou gaucher. Cela peut aider à prévoir les coups.
•Ne pas frapper le premier, car qu'elle que soit l'issue du combat, vous pourrez poursuivre l'autre personne en justice pour voies de fait et comme vous n'avez pas frappé le premier, vos chances de gagner le procès seront beaucoup plus élevées.
•Frappez pendant que votre adversaire est distrait et ne vous arrêtez pas jusqu'à ce que le sang coule. Déversez toute votre colère sur votre adversaire.
•Vos niveaux de force et d'endurance seront un facteur décisif même si le combat ne dure que quelques secondes. Pour certains combats - une pratique spécifique de l'haltérophilie sera extrêmement bénéfique - l'une des meilleures sources d'information pour cela est Jeffries Bud, à www.strongerman.com
•Quelques connaissances approfondies de la mécanique du corps humain pour une frappe préventive sont la double rotation des hanches "double-hip" et les coups en forme de vague "waveforms". Pour plus d'informations sur ces deux sujets, consultez le Powerstrike de Peter Consterdine et DVD Powerkick et DVD SFFM de Russell Stutelly.
•Si l'agresseur est plus grand, il est préférable pour vous d'essayer immédiatement de le mettre à terre et de l'y maintenir. Cela vous donne un avantage majeur.
•Si votre agresseur est désorienté, optez pour des coups rapides, multiples et répétés dont la combinaison peut mettre l'attaquant hors combat plus rapidement avec les moindres risques pour vous d'être atteint. L'inconvénient est que vous aurez plus de chance de rater vos coups et de vous blesser, n'oubliez pas d'être rapide, mais pas trop rapide (vous n'êtes pas Bruce Lee).

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Avertissements

•Ne jamais baisser votre garde. Avant de vous reposer, vérifiez qu'il n'y a pas d'adversaires dans les parages.
•Si vous tombez à terre, faites tout ce qui est en votre pouvoir pour garder votre adversaire éloigné de vous en attendant de vous relever. À chaque seconde pendant laquelle vous êtes à terre, vous êtes en danger de recevoir des coups de pied ou d'être piétiné par quiconque debout à proximité y compris votre agresseur. Sachez que vous serez très vulnérable pendant que vous essayez de vous relever et qu'en fait rester à terre pourrait être plus sûr quand un assaillant se trouve à proximité. Gardez vos bras au-dessus de votre corps, préparez-vous à rouler par terre pour esquiver les coups et utilisez vos jambes pour garder votre agresseur à bonne distance.
•Toute bagarre dans laquelle vous participez peut avoir de graves conséquences de nature à changer le cours de votre vie. Battez-vous seulement lorsque c'est absolument vital - les conséquences juridiques ne valent pas d'autres enjeux. Il est plus facile d'endommager de façon permanente ou de tuer des gens qu'il n'est communément admis et de nos jours, les armes modernes sont fréquemment utilisées dans les bagarres.
•Cependant, ne pas hésiter ou avoir d'inquiétude par rapport aux conséquences juridiques de vos actes lorsque vous subissez une attaque. Si vous êtes en danger, il est de loin préférable de se défendre vigoureusement et d'expliquer vos actions plus tard devant le juge, que d'être blessé ou tué.
•Traitez toutes les blessures aussi vite que possible.
•Ne jamais essayer d'attraper avec vos mains ou vos bras les jambes d'un adversaire alors qu'il est solidement campé sur le sol. La plupart du temps, il sera très difficile de les faire bouger et de plus cela vous laissera exposé à toutes sortes d'attaques par exemple recevoir des coups de genoux ou être frappé sur la nuque. Il est possible de déséquilibrer un adversaire en saisissant son mollet et en tirant simultanément sa jambe vers vous pendant que vous poussez dans le genou avec votre épaule, cette technique peut également être effectuée à l'aide d'un pied pour accrocher la jambe et l'autre pour pousser le genou.
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#Posté le vendredi 02 octobre 2015 01:02

G riiiiiiiii ahhahahahha. g effacer beeeuuup...moi je visss

oui je te déteste...Tu va de venir fou ou folle ki c ahahah
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#Posté le vendredi 02 octobre 2015 00:41

<3 Mwa g un chéri<3 niiahaaahahhhhh la blague du siècle, mwa je tue pour de vrais....méfie toi de l'eau ki dor

Je suiiiiiiiiiisssss......
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#Posté le vendredi 02 octobre 2015 00:31

Banco

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#Posté le vendredi 04 septembre 2015 09:48

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